viernes, 23 de diciembre de 2011

Alphonse Lamartine (Meditaciones poéticas)

-le soleil des vivants n´echauffe plus les morts

-fleurs, rochers, fôrets, solitudes si chères
un seul être vous manque et tout est depleuplé

-comme un enfant bercé par un chant monotone
mon âme s´assoupit au murmure des eaux

-l´oubli seul desormais est ma felicité

-quand tout change pour toi, la nature est la même

-et l´ombre et le jour se disputent la terre

-quel bruit plus eternel y plus doux sur la terre
qu´un echo de mon coeur qui m´entretient de toi?

-mourir aux lieux oú j´ai gouté la vie

-poétique hochet des douleurs de parade

-enfant, no dites plus vos rêves a personne
et ne revez jamais ou bien revez toujours

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